Mini histoire de dépression

Corona a posé une base pour que nous parlions un peu plus ouvertement des maladies psychiques. Malgré tout, il y a encore un grand tabou dans ce domaine, on estime que le nombre de cas non déclarés est très élevé. Même avant Corona, la maladie mentale la plus fréquente était la dépression. Dans la situation actuelle, le nombre de personnes malades en Suisse a même été multiplié par six. La pensée, les sentiments, le corps, les relations sociales et même la vie entière sont affectés. Cela entraîne une grande souffrance et une perte de qualité de vie pour les personnes concernées et leurs proches.

Autant de raisons pour que nous aussi, en tant qu'église, contribuions à lever le tabou sur les maladies psychiques. Tu peux t'inscrire le vendredi 26 mars à 20h00 sur live.seetal-chile.ch être présent lorsque je discute de la dépression avec un professionnel et une personne concernée.

Sina Leimgruber a été prisonnière de la dépression pendant des années et raconte son histoire dans ce cadre. Elle souhaite ainsi encourager les autres personnes concernées à demander de l'aide plus rapidement qu'elle ne l'a fait.

Dr. med. Ursula Wälty-Gautschi, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie FMH, parle de son expérience en tant que spécialiste et donne des conseils utiles sur la manière dont les proches peuvent également gérer une telle situation.

Pendant la table ronde, tu peux te manifester activement sur le chat avec tes questions (même de manière anonyme). Après la discussion, Sina et Ursula seront personnellement à ta disposition pour répondre à tes questions et suggestions.